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Marcus, le héros pénitencier du Tribunal des âmes, se réveille d’un coma
à Prague, amnésique. À son chevet, il trouve deux enveloppes : l’une
renferme un billet de train pour Rome et la promesse d’y retrouver son
passé ; l’autre 20 000 euros et un passeport sous une fausse identité.
Laquelle choisir ? Marcus opte pour un retour à Rome, qui le mène
directement au Vatican où on lui explique le don qu’il avait de repérer
le mal dans le quotidien des gens. Après une remise à niveau intensive,
Marcus est prêt à reprendre ses fonctions, pile au moment où une
psychose généralisée se déclenche à Rome : de jeunes couples d’amoureux
se bécotant dans leur voiture aux abords de Rome sont retrouvés
assassinés. Le même modus operandi est employé à chaque fois : l’homme
est abattu d’une simple balle dans la nuque, alors que la femme a été
longuement torturée avant sa mise à mort.
Marcus se met à errer sur les scènes de crime à la recherche d’indices lorsqu’il retrouve Sandra, l’enquêtrice photo pour la police scientifique. Leurs soupçons se tournent vite vers le médecin légiste en charge de l’affaire, qui semble délibérément masquer des informations clés. Ils vont découvrir que non seulement le médecin est à la tête d’une secte férue d’ésotérisme, mais que par le passé, il dirigeait une clinique pour enfants criminels. À l’époque, un jeune Russe, fils d’ambassadeur, lui avait été confié après avoir été accusé du meurtre de sa sœur jumelle…
Entre personnages troubles et rythme affolant, une construction vertigineuse qui plus que jamais prouve l’extraordinaire talent de Donato Carrisi pour tisser des intrigues ultra-complexe. Les coups de théâtre s’enchaînent et les multiples récits entrelacés finissent toujours pas se recouper de manière sensationnelle.
Marcus se met à errer sur les scènes de crime à la recherche d’indices lorsqu’il retrouve Sandra, l’enquêtrice photo pour la police scientifique. Leurs soupçons se tournent vite vers le médecin légiste en charge de l’affaire, qui semble délibérément masquer des informations clés. Ils vont découvrir que non seulement le médecin est à la tête d’une secte férue d’ésotérisme, mais que par le passé, il dirigeait une clinique pour enfants criminels. À l’époque, un jeune Russe, fils d’ambassadeur, lui avait été confié après avoir été accusé du meurtre de sa sœur jumelle…
Entre personnages troubles et rythme affolant, une construction vertigineuse qui plus que jamais prouve l’extraordinaire talent de Donato Carrisi pour tisser des intrigues ultra-complexe. Les coups de théâtre s’enchaînent et les multiples récits entrelacés finissent toujours pas se recouper de manière sensationnelle.
Cela faisait pas mal de temps que ce livre était dans ma PAL ; journées pluvieuses qu'il faut occuper, rien de tel qu'un bon thriller gothique qui nous plonge dans les arcanes du Vatican et d'une Italie pas toujours souriante. Nous retrouvons notre prêtre pénitencier Marcus et notre policière photographe Sandra. Première mise au point : pas besoin d'avoir lu le premier opus, l'histoire fait assez souvent de retour en arrière pour suivre l'évolution de nos personnages. Dès les premières pages, nous sommes plongés dans la noirceur des âmes humaines et nous partons dans un récit qui en fin de compte regroupe des faits réels conservés dans les archives du Vatican. C'est encore plus glaçant vu sous cet angle.
Comme toujours, écriture fluide et addictive, suspens parfaitement maîtrisé, documentation des faits et lieux sans faute. Du grand Carrisi, qui confirme ici son don de conteur et qui nous fait regretter de ne pas être en vacances pour pouvoir tourner les pages encore plus vite.
La fin du livre laisse présager une suite ; pourvu que nous n'ayons pas trop longtemps à attendre. Je m'attache de plus en plus à Marcus, homme sans passé, sorte de curé profiler qui débusque le mal.
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