«
Si mes années m’étaient données à revivre, crois-moi que je les
revivrais différemment. Je ferais moins attention à certaines futilités,
je rirais davantage, je serais plus généreux avec mes proches, je
m’investirais davantage avec certaines personnes, et dirais à certaines
autres que je les ai aimé beaucoup plus qu’elles ne le savent. Avec le
temps, on trouve de la beauté en toutes choses. »
Au
matin, est un conte philosophique moderne sur le parcours d’un homme
comme les autres soumis au quotidien de la société qui illustre le choix
que nous avons tous de décider de notre existence en empruntant pour
toujours un autre chemin. Olivier Sauret est né à Paris en 1982.
Écrivain depuis l’âge de 17 ans, il pose un regard lucide sur
l’évolution de notre société, sur le degré d’acceptation de notre
environnement et sur la complexité des relations humaines qui nous lient
tous.
Ce petit livre de 80 pages est présenté comme un conte philosophique. Je n'ai pas ressenti le côté conte par contre philosophique, oui. A certains moments je me croyais revenue à mes années lycée avec les questions existentielles : qui sommes nous, que sommes nous, où allons nous...
Victor se lève un matin, prend son petit déjeuner et part pour son boulot... comme tous les matins. Et puis voilà, au lieu de rentrer dans son entreprise, il continue son chemin, va prendre un café en se demandant quel est le sens de sa vie. Est il heureux, est-ce vraiment cette vie là qu'il veut. Victor ouvre les yeux et regarde ce qui l'entoure et auquel il ne prête plus attention, par habitude. Un parc qu'il n'avait jamais remarqué, des enfants qui jouent, un ami qu'il croise d'habitude sans le voir. Au fil de sa balade, il redécouvre la vie, les amis.
Ce roman se déroule sur une journée, une journée de découverte de soi même, de ses envies, de ce qui nous entoure. Tous les matins c'est le même rituel auquel nous sommes habitués ; nous ne faisons plus attention à ce qui nous entoure, aux gens que nous croisons. On se lève, on fait le trajet sans regarder les changements qui s'opèrent dans notre environnement : le soleil qui se lève, un chevreuil qui broute, un tracteur qui laboure avec sa nuée d'oiseaux qui plonge sur les vers. On arrive au boulot sans se rendre compte que notre collègue a mis du rouge à lèvre, changée de coiffure. Tous ces petits détails qui font la beauté de la vie et que nous ne voyons plus parce que nous sommes devenus des automates.
Je ne suis pas trop roman philosophique mais là, j'ai accroché tout de suite. C'est sympa, c'est frais, pas ennuyeux. En fin de compte si on prenait le temps dans une journée de nous assoir et de nous poser la simple question : qui suis je et où vais je ? Il me semble que faire le bilan une fois de temps de temps sur notre vie nous permettrais d'avancer plus sereinement.
Une agréable découverte. Merci à Chiado Editeur pour cette découverte.
Ce petit livre de 80 pages est présenté comme un conte philosophique. Je n'ai pas ressenti le côté conte par contre philosophique, oui. A certains moments je me croyais revenue à mes années lycée avec les questions existentielles : qui sommes nous, que sommes nous, où allons nous...
Victor se lève un matin, prend son petit déjeuner et part pour son boulot... comme tous les matins. Et puis voilà, au lieu de rentrer dans son entreprise, il continue son chemin, va prendre un café en se demandant quel est le sens de sa vie. Est il heureux, est-ce vraiment cette vie là qu'il veut. Victor ouvre les yeux et regarde ce qui l'entoure et auquel il ne prête plus attention, par habitude. Un parc qu'il n'avait jamais remarqué, des enfants qui jouent, un ami qu'il croise d'habitude sans le voir. Au fil de sa balade, il redécouvre la vie, les amis.
Ce roman se déroule sur une journée, une journée de découverte de soi même, de ses envies, de ce qui nous entoure. Tous les matins c'est le même rituel auquel nous sommes habitués ; nous ne faisons plus attention à ce qui nous entoure, aux gens que nous croisons. On se lève, on fait le trajet sans regarder les changements qui s'opèrent dans notre environnement : le soleil qui se lève, un chevreuil qui broute, un tracteur qui laboure avec sa nuée d'oiseaux qui plonge sur les vers. On arrive au boulot sans se rendre compte que notre collègue a mis du rouge à lèvre, changée de coiffure. Tous ces petits détails qui font la beauté de la vie et que nous ne voyons plus parce que nous sommes devenus des automates.
Je ne suis pas trop roman philosophique mais là, j'ai accroché tout de suite. C'est sympa, c'est frais, pas ennuyeux. En fin de compte si on prenait le temps dans une journée de nous assoir et de nous poser la simple question : qui suis je et où vais je ? Il me semble que faire le bilan une fois de temps de temps sur notre vie nous permettrais d'avancer plus sereinement.
Une agréable découverte. Merci à Chiado Editeur pour cette découverte.
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